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Novembre approche et la tension monte au niveau des joueurs qui vont participer à cette ultime phase des WSOP 2011. Ils seront neuf à prétendre au fameux bracelet, récompense suprême du plus grand tournoi mondial de poker, c’est pourquoi il est baptisé le November Nine. Matt Gianetti figure parmi cette brochette de meilleurs joueurs de poker.

WPT de Malte, victoire d’un Américain
Matt Gianetti vient de sortir la main haute du World Poker Tour de Malte attestant ainsi sa forme actuelle à quelques semaines de son grand rendez-vous final à Las Vegas, le 24 septembre. C’est Gianetti qui aura donc inauguré de cette première édition du WPT Malte. L’américain avec un nom de consonance italienne termine le tournoi en emportant 273 000 euros en ayant le dessus sur l’Italienne Cecilia Pascaglini. Par la même occasion, il s’offre une place à la manifestation finale des WPT le WPT, World Championship à 25.000 dollars. Quant aux Français du tournoi, on ne les retrouve qu’aux cinquième et sixième places respectivement Tristan Clemençon et Fabien Sartoris.

World Poker Tour Borgata, presque 1M$ de gain
Atlantic City constitue une étape différente du WPT, une étape parallèle dans cette ville de jeux de casinos des États-Unis juste derrière celle qu’on surnomme la capitale mondiale des jeux, Las Vegas. La ville a accueilli quelque 1 313 joueurs de poker ce qui laisse espérer un total de gains assez important. Les 922 441 dollars destinés au meilleur joueur ont été attribués à un illustre inconnu des grands tournois, l’Américain Bobby Oboodi.

Winamax Poker Open, un Anglais au top
Par ailleurs, en Irlande, le flegme britannique a eu raison de l’humour belge. En effet, pendant le week-end, à Dublin l’Anglais Steven King s’est imposé devant le Belge Michael Gathy, dans le cadre d’un tournoi organisé par l’opérateur de poker en ligne Winamax. L’Anglais a fait également tomber quatre Français Paulo Dos Santos, Jonathan Hamard, Jean-Claude Marets ainsi que Thibault Richard. Sa récompense se monte à 63 000 euros.

Barrière Poker Tour Bordeaux, déjà 2012 en vue
Quant au Barrière Tour, il arrivera à son ultime étape pendant la première semaine d’octobre. Avant ce rendez-vous final de poker qui sera abrité par Cannes, la septième et dernière étape s’est déroulait à Bordeaux. Outre les prix habituels destinés à chaque étape, celle de Bordeaux est dotée de six packages équivalant à 12 000 euros pour une participation à la finale des WSOP Europe 2011. Cette fois, c’est un Français qui est sorti vainqueur, Matthieu Pourrat.

Le programme des WSOPE 2012 est d’ores et déjà connu.

Las Vegas ne garde plus désormais qu’une renommée symbolique, car la crise est passée par là et a fait d’énormes dégâts sur ses recettes en matière de jeux de casinos. Et tout à côté pendant que les vents du tsunami et les divers cataclysmes naturels s’acharnaient sur l’archipel du Japon, du côté de la Chine, les maisons de jeux et les casinos voguent sur des eaux tranquilles avec un vent très favorable. Bientôt cette partie de l’Asie raflera toutes les palmes du développement !

Macao, le nouvel Eldorado des jeux
Las Vegas se fait de plus en plus discrète ces dernières années si cette ville symbolisait jadis les excès de toutes formes. Déjà en 2006, Macao, ancienne colonie portugaise restituée à la Chine depuis, lui volait son titre de capitale mondiale des jeux d’argent, à la grande surprise du monde occidental. Las Vegas réunissait les plus grands casinos du monde et abrite régulièrement le plus grand tournoi mondial de poker : les WSOP (World Series Of Poker). Cinq ans plus tard, en 2011, Sin City n’arrive pas toujours à reconquérir son titre. Pire encore, d’autres pays émergents dans le domaine de jeu de casinos risquent encore de le déclasser un peu plus.

Une inexorable ascension
Les casinos asiatiques amorcent aujourd’hui une ascension qui semble difficile à freiner. Et à ce rythme, ce sera l’ensemble des États-Unis qui ne fera plus le poids, en termes de recettes, face à ce développement sans précédent de l’industrie des jeux dans cette partie de la planète. En effet, les premiers résultats financiers des 34 salles de jeux de Macao ont augmenté de 45% en moyenne comparés à ceux de l’année 2010, quatre fois plus que ceux de Las Vegas.

Pour la cité-État de Singapour maintenant, l’estimation de l’Association américaine des jeux d’argent lui prévoit 6,4 milliards de chiffre d’affaires pour l’exercice 2011, si Las Vegas ne pouvait récolter que 6,2 milliards de dollars. D’aucuns ne s’étonneront plus si Singapour devient la seconde Terre des jeux après Macao.

Hong Kong s’est déjà réveillé et fait trembler l’économie occidentale, les Philippines font l’objet d’un projet d’un milliard de dollars initié par le fils magnat des jeux de Macao, Ho Stanley, sans parler de l’Australie. Bref, selon les projections des spécialistes, d’ici quatre ans, toutes les autres parties de la planète seront dépassées par l’Asie. Pour les États-Unis, l’échéance est encore plus courte, car son déclassement est prévu en 2013.

A moins d’une nouvelle révolution, l’abolition de la loi UIGEA !

Un vent d’optimisme contagieux souffle actuellement sur les États-Unis sur l’ouverture très prochaine des jeux en ligne et principalement celle du jeu de casino en ligne, le poker. Plusieurs indicateurs semblent attester que la légalisation du poker en ligne n’est plus qu’une question de semaines, au pire, de mois.

 

Une loi unique

Faut-il encore rappeler que la législation sur les jeux en ligne se réduit actuellement à l’UIGEA dans le pays de l’oncle Sam qui interdit toute pratique de jeux de hasard et d’argent en ligne. Le poker étant encore classé dans la catégorie des jeux de hasard en outre-Atlantique, le poker en ligne y reste interdit. Quelques grands sites de poker en ligne ont été fermés lors de l’opération baptisée black Friday, en avril, comme Fult Tilt Poker ou PokerStars. Plusieurs comptes ont été fermés et les joueurs se retrouvent non remboursés faute de fonds nécessaires. Fult Tilt Poker reste encore aujourd’hui au cœur d’un litige judiciaire sans précédent, malgré toutes ses promesses de remboursement.

 

Avantages pour les sites déjà implantés

Mais, apparemment, le gouvernement américain aurait fait montre de signes de bonne volonté quant à la légalisation très prochaine des jeux d’argent et de hasard en ligne. Ainsi, tous les opérateurs concernés se préparent activement à affronter ce marché qui compte une centaine de millions de joueurs. Il s’agira alors d’être fin prêt lorsque le jour J arrive et de pouvoir démarrer en trombe afin de devancer ses concurrents. Les anciens sites, même s’ils ont été récemment fermés, jouissent déjà d’une base confortable, car déjà bien connus. D’autant plus que certains joueurs y possèdent encore des comptes comme pour le cas de Fult Tilt Poker. PokerStars s’est, pour le moment, restreint au marché européen.

 

Changement d’activité

Beaucoup de grands joueurs ont choisi de s’installer aux États-Unis et notamment à Las Vegas, la ville aux mille casinos. Bien que certains joueurs aient préféré déménager sous un ciel plus clément aux jeux, après le black Friday, d’autres y sont restés en adaptant leur compétence à d’autres activités telles le coaching en ligne. C’est le cas par exemple de Tom Dawn connu encore sous le pseudo de « Durrrr » qui se fait payer 6 000 dollars l’heure d’assistance. Des sites moins importants ont apparu et ont ouvert leur porte aux joueurs (frustrés) américains comme BetOnline, Bodog ainsi que CakePoker.

 

Jeux en ligne obligent !

Nombre d’opérateurs en jeux d’argent se lancent désormais dans de grandes campagnes publicitaires soit à la télévision soit à travers les diverses publications (journaux et magazines). Certains ont même changé de nom à l’instar de Gold Strike Poker qui devient goldrushpoker.net, d’autres cherchent des partenariats afin d’être mieux armés face une concurrence qui s’annoncent féroce et passionnante. Même Las Vegas se prépare à négocier son virage vers les jeux en numérique. Les États tels que la Californie, le New Jersey et même New York envisagent sérieusement de céder à cette légalisation des jeux de casinos en ligne.

 

Les retombées économiques d’une telle ouverture sont gigantesques et comme le pays traverse une crise économique qui n’a que trop duré, cette ouverture serait salutaire. Apparemment, la loi UIGEA ne résistera plus longtemps, comme toujours, tout est question de prix !

Le secteur des jeux d’argent n’a pas échappé aux effets néfastes de la crise économique qui sévit tous les secteurs d’activité. Pour améliorer ou du moins maintenir leur rendement, les casinos doivent soit réussir à fidéliser leurs clients soit augmenter leurs heures de travail. Pour les aider, l’État a consenti à assouplir certains textes de façon à ce que les machines à sous puissent désormais fonctionner 24 heures sur 24.

Des facteurs néfastes

La fréquentation des casinos terrestres a nettement chuté ces dernières années. Les raisons sont multiples et maintes fois évoquées. Il y a d’abord l’interdiction décrétée de fumer dans les endroits publics clos. Ensuite, le contrôle d’identité ou plutôt le contrôle d’âge à l’entrée des casinos fut appliqué. De plus, l’essor considérable des casinos en ligne n’a pas été favorable aux fréquentations des casinos terrestres, car les joueurs ne retrouvent plus l’ambiance dans un casino ou ils n’ont pas l’âge requis pour y être admis. Les jeux de casinos en ligne leur offrent presque tout ce qu’ils recherchent dans les casinos terrestres.

Une activité concurrente

En 2010, le Produit Brut des Jeux (PBJ) en France a diminué de 2,1 % avec un montant de 2,7 milliards d’euros. Or, en 2004, il s’élevait à 2,72 milliards, chiffre record dans les annales des exploitations des casinos en dur. La crise économique mondiale s’est déclenchée en 2008 et depuis, si certains casinos en carrément rendu leurs… tables de jeu, d’autres ont essayé tant bien que mal de remonter la pente. Plusieurs se sont associés ou fusionnés même s’ils officient dans des secteurs différents. L’ouverture des jeux d’argent en ligne à la concurrence a satisfait les opérateurs des jeux de casinos en ligne, mais constitue une activité concurrente pour les casinos en dur.

De plus de 75 machines à sous

Le lobby des casinos français s’est attelé alors à trouver tous les moyens pour affronter tous ces handicaps. C’est ainsi que des espaces fumeurs ont été aménagés dans les casinos et les heures d’ouverture ont été élargies, entre autres. Justement, dans la seconde mesure (heures d’ouverture), un arrêté du 14 mai 2007 concernant la réglementation des jeux de casinos restreint plus ou moins les heures de fonctionnement des machines à sous. Toutefois, les législateurs français se sont rattrapés en publiant tout récemment dans le journal officiel un arrêté qui autorise les casinos à exploiter leurs machines à sous un peu plus longtemps sous certaines conditions. Cet arrêté stipule notamment que les casinos et autres établissements de jeux d’argent « pourront désormais continuer à exploiter les machines à sous après la fermeture de jeux de table à la condition que les jeux de table soient ouverts au moins six heures par jour pour les casinos de plus de 75 machines à sous et quatre heures au moins pour les casinos de 75 machines à sous au plus ».

Un autre décret est relatif à la diversité de jeux qui pourraient être disponibles sur les machines à sous. En effet, des précisions supplémentaires ont été rajoutées pour étoffer un peu plus les offres sur ces bandits manchots, car dorénavant elles peuvent comporter « plusieurs jeux à la fois avec des taux de redistribution et des mises unitaires différents ». Cette autre mesure a été depuis longtemps attendue par les casinos qui n’avaient alors que des machines à sous dédiées multijeux.

Néanmoins, ces mesures constituent déjà des conditions nécessaires, certes, mais est-ce suffisantes ?

Facebook constitue le plus grand réseau social sur internet. Il enregistre aujourd’hui environ 750 millions d’internautes. A ce titre, il constitue un formidable support publicitaire pour des annonceurs et notamment les opérateurs de jeux en ligne tels que les casinos en ligne. Néanmoins, Facebook a toujours très strict sur la promotion des jeux d’argent en ligne. Aujourd’hui, il semblerait qu’il s’est un assoupli et ne réfute plus d’épingler des pubs de jeux en ligne sur ses pages, mais sous certaines conditions.

Toujours dans la parfaite légalité
Publicité pour les jeux en ligne, oui, mais seulement pour les marchés qui font l’objet d’une régulation légale pour les jeux d’argent et de hasard en ligne. Comme aux États-Unis tous les jeux de hasard et d’argent en ligne toujours interdits, aucun internaute résident aux States ne verra pas de la publicité sur ces jeux. Cependant, les casinos en dur peuvent y proposer leurs publicités. Toutefois, Facebook pose la condition que les publicités doivent demeurer ciblées (interlocuteurs de plus de 18 ans) et étudiées suivant les contextes (législation locale).

De même, les loteries nationales et d’état seront permises sous réserve d’une autorisation délivrée par Facebook dans l’espace de leur juridiction. Pour les pays autres que les États-Unis, les publicités liées aux jeux en ligne et aux jeux d’adresse, des autorisations peuvent également être envisagés. Quoi qu’il en soit, tous les opérateurs ou casinos en ligne qui sollicitent les pages de Facebook doivent être agrémentés dans le pays où les publicités seront consultées. Aucun service ou produit illégal non conforme à la législation locale ne  sera accepté.

Tout doit passer par Facebook
Tout récemment, Facebook s’est ouvert à la publicité d’opérateurs du Royaume-Uni qui proposent des apps mobiles gratuites. Il fallait seulement que la mention « play for fun » soit clairement décelable sur le produit. Dans ce sens, le réseau social de Google a pris une petite longueur d’avance puisque Zynga Poker a vu le jour bien avant.

Aucun opérateur ou casino qu’il soit en ligne ou en dur ne peut effectuer sa publicité directement sur le site de Facebook. Il doit d’abord souscrire un contrat avec Facebook et doit réserver au moins une enveloppe de 30 000 de dollars dans sa campagne de publicité. Autant dire une barre assez haute pour dissuader les opérateurs à petit budget. Mais cette condition est assez compréhensible dans la mesure où le support publicitaire n’est pas quelconque, car sa visibilité est mondiale.

D’autre part, les sites qui apportent des conseils relatifs aux jeux de hasard et en particulier aux jeux de casinos pourront être admis, à condition d’exclure tout lien qui mène vers des sites de jeux d’argent en ligne. Dans cette entreprise, Facebook s’est appuyé sur le concours d’une vingtaine de spécialistes des jeux en ligne et de la législation concernant les jeux de hasard.

Il fallait bien s’y attendre un jour ou l’autre, car aussi « responsable » qu’elle soit, une telle plateforme de rencontres aussi vaste que Facebook ne peut ignorer indéfiniment le gigantesque marché financier que représente la publicité en ligne. Comme toujours, tout est question de prix !

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